Je ne peux pas Je ne sais pas Je ne vois pas Et je reste planter là Tu ne vis pas
Ce que tu pries tard Si tu ne vises pas Ne serait ce que les étoiles Des cimes d´arbre j´en ai gravis pour voir les cumulus À travers ce tumulte j´aimerais voir que cumules tu Et je me sens tellement vivant quand c´est toi qui me tues J´veux découvrir ta face cachée comme celle de la lune (J´veux découvrir ta face cachée comme celle de la lune) (J´veux découvrir ta face cachée comme celle de la lune)
S´il fallait faire tomber tout ces remparts Pour s´aimer c´est pas très rentable
La poussière de lune rempli mes bagages Après Nora t´as pu changer mes bandages J´imaginerai pas mes sons sans toi J´imageais toutes mes réponses en toi J´aimerai que ma maison soit sans toit Pour pêcher quelques étoiles dans la Rivière du ciel Rivière du ciel Rivière du ciel Du ciel, du ciel oh Rivière du ciel Rivière du ciel Rivière du ciel Du ciel, du ciel oh
En manque d´inspi les yeux plissés vers la voie lactée Une étoile filante s´y est glissé puis j´ai de quoi jacter
J´attend qu´un nuage pleure de l´encre pour avoir de quoi marquer La nuit m´accorde un moment de silence où j´m´octroi le droit de rapper Voilà que tes doigts claquaient Pendant que j´placardais Dessins de toi calqués Dans ces textes tard actées Je tracerai chacun de tes traits de caractère Mon coeur est comme la lune et la lune y à des cratères D´ailleurs j´aimerais t´y emmener pour t´avouer toutes mes fautes Qu´elles soient sans gravité qu´on arrête de douter de l´autre Tu me diras oublie aucun chapitre c´est histoire c´est la notre Mais j´ferai genre que j´te connais plus et j´te dirai c´est la votre
Tout jeune je regardais les nuages et je me voyais plus vieux Buée sur le hublot la vue me rend curieux Toute la nuit au studio j´ai oublié plumard Aujourd´hui il a plu tôt mon poème t´a plut tard J´suis comme celui qui te marque à vie de part sa venu Ou celui que sent loin de part en part l´avenu Dans l´ennuie j´imaginais un pont de Mars a Venus Que je dessinerai posé au sommet d´Uranus Mais je fais encore ce rêve Où vois que mon corps s´élève Haut près des corps céleste Et j´fixe l´écorce terrestre Puis le silence Petit si immense
Quand je cherche mon reflet je lève la tête l´eau est si calme Rapidement interrompus par une brise irrespirable Dans ma vie j´ai choisi de faire des poésies car Sinon elle rime à rien et devient inexplicable Alors j´écris des pages que j´suis pas sur de vouloir chanter Posé sur la plus haute des grues j´aime admirer le chantier J´aurais pas fais de musique si j´avais été quelqu´un d´entier Mais j´ai pas eu le choix, séquestré c´est la vie qui m´a fais chanter Alors j´rap sur ma vie Alors je rap sur mon vide Sur un coeur surement vide Sur l´amour comme Ovide Et je m´adapte où que j´aille moi je me métamorphose
Mais être soit même il serait temps que le métamorphe ose Faut que j´arrête c´est bientôt l´aube Les oiseaux organisent une chorale La rivière du ciel n´est plus très haute Et les étoiles ne forment plus un corail
S´il fallait faire tomber tout ces remparts Pour s´aimer c´est pas très rentable La poussière de lune rempli mes bagages Après Nora t´as pu changer mes bandages J´imaginerai pas mes sons sans toi J´imageais toutes mes réponses en toi J´aimerai que ma maison soit sans toit Pour pêcher quelques étoiles dans la Rivière du ciel Rivière du ciel Rivière du ciel
Du ciel, du ciel oh Rivière du ciel Rivière du ciel Rivière du ciel Du ciel, du ciel oh Rivière du ciel Rivière du ciel Rivière du ciel Du ciel, du ciel oh Rivière du ciel Rivière du ciel Rivière du ciel Du ciel, du ciel oh