Faut croire qu´il n´y a plus de braises sous les cendres J´ai perdu la flamme, j´ai plus que l´essence Plus que des sanglots, plus que des sangles J´suis tellement remonté, je n´fais que descendre
On va droit dans le mur, on a perdu la vue A la tête du navire que des Ray Charles Des belles paroles mais j´ai pas vu tes yeux Est-ce que tu prends les Hommes pour des esclaves ? Les années passent de plus en plus vite Confiance piétinée sous les bulles d´air Les rêves s´envolent et les doutes s´endurcissent Depuis qu´on normalise les adultères J´voulais vivre d´espoir, j´étais trop utopiste Marche sur ton frère tu s´ras promu d´office Vu la gueule du présent, j´veux pas regarder devant J´ai peur de voir dans quel monde évoluent nos fils Reste-t-il une flamme au fond d´nous, enfouie sous les couches d´ombre ?
J´crois plus en l´être humain, on m´a beaucoup trahi, moi, j´ai du mal à tendre mon bras Un soir d´hiver, j´ai tué la joie, (depuis) je ne fais qu´entendre son cri perpétuel Ma foi perd des duels, les temps sont gris, dans mon cœur les tensions priment
C´est pas du rap, c´est un miroir J´m´y vois, mi esclave mi roi Mi esclave mi roi, mi esclave mi roi
J´suis gémeaux, là j´te hais, demain je t´aime Là j´te hais, demain je t´aime Là j´me hais demain je m´aime Là j´me hais demain je m´aime
J´suis gémeaux, là j´te hais, demain je t´aime Là j´te hais, demain je t´aime
Là j´me hais demain je m´aime Là j´me hais demain je m´aime
Il reste toujours quelques braises sous les cendres Et quelques rêves sous les sanglots Plus le but paraît fou et plus le doute est grand Pas de trêve pour les Grands Hommes Etranglé à la gorge, étranger à la joie J´ai chanté à la mort mes déceptions A la source de mes peurs, j´étancherai pas ma soif Donc j´ai changé la prod et baissé l´son Le monde n´est que ce qu´on décide de voir Perdu entre passion et désir de gloire Attiré par le ciel, mais j´refuse de croire Qu´on peut trouver sa route en faisant des signes de croix
Vaincre ses démons avant d´vouloir plus grand L´enfer c´est les autres ? Pourquoi tu t´mens ? Faut passer des heures sombres enfermé dans sa tête Pour être maître des clés dans le couloir du temps J´crois qu´il y a une flamme au fond d´nous, enfouie sous les couches d´ombre J´ai foi en l´être humain, on m´a beaucoup trahi mais, j´continue à tendre mon bras Un soir d´été, j´ai trouvé la joie, (depuis) je ne fais qu´entendre son air mélodieux Frère, les temps sont clairs, dans mon cœur les tensions crèvent
C´est pas du rap, c´est un miroir J´m´y vois, mi esclave mi roi Mi esclave mi roi, mi esclave mi roi
J´suis gémeaux, là j´te hais, demain je t´aime Là j´te hais, demain je t´aime Là j´me hais demain je m´aime Là j´me hais demain je m´aime
J´suis gémeaux, là j´te hais, demain je t´aime Là j´te hais, demain je t´aime Là j´me hais demain je m´aime Là j´me hais demain je m´aime
J´suis gémeaux, là j´te hais, demain je t´aime Là j´te hais, demain je t´aime Là j´me hais demain je m´aime Là j´me hais demain je m´aime
J´suis gémeaux, là j´te hais, demain je t´aime Là j´te hais, demain je t´aime
Là j´me hais demain je m´aime Là j´me hais demain je m´aime