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Artiste : Asinine
Titre : Comme les pierres
Des souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des
Souvenirs qui roulent dans le cœur

J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des

La pièce est plus vide que jamais
J´ai voulu la guerre pas le cessez le feu
J´ai perdu la guerre, je sais c´est le jeu
La pièce est plus vide que jamais
J´ai voulu la guerre pas le cessez le feu donc
J´ai perdu la guerre, je sais c´est le jeu
Par égo j´ai pleuré devant des portes fermées
Pourtant derrière la pièce était vide
J´regarde les mois comme un train passer
J´perds le compte des wagons qui défilent

Les années sont courtes c´est pas moi qui décide
J´marche depuis longtemps j´ai peur que ça fasse juste un cercle plus grand qu´à l´habitude

Les remords ont la voix qui portent tarpin, l´espoir est souvent taciturne

Des souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des
Souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des
Des souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des
Souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames

J´me sens comme un feu de foret
J´ai détruit le beau j´ai laissé que le mauvais
J´te brulerai les ailes si je venais m´y lover
Si je venais m´y lover

Sous les cotes une bête sauvage
Elle braille comme elle peut pour invoquer l´orage
J´ai gardé les fleurs mortes, j´ai jeté le vase
Han j´ai jeté le vase

Tu connais, j´fais de mon mieux
Jusqu´à je peux faire je fais
Ma chance et mon fléau c´est que j´serai jamais comme eux
D´ailleurs en parlant de cœur, le leur il est comme neuf

D´ailleurs en parlant de cœurs, le mien il est comme vieux

Par égo j´ai pleuré devant des portes fermées
Pourtant derrière la pièce était vide
Moi j´pensais qu´on parlait normal t´sais genre
J´savais pas qu´on plaçait des billes
J´regarde les mois comme un train passer
J´perds le compte des wagons qui défilent
Les années sont courtes c´est pas moi qui décide

J´marche depuis longtemps j´ai peur que ça fasse juste un cercle plus grand qu´à l´habitude
C´est bizarre ça reste l´hiver toute l´année juste à gauche sous la clavicule
Les remords ont la voix qui portent tarpin, l´espoir est souvent taciturne

Des souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des
Souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des
Des souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames
J´les ai aiguisés comme des
Souvenirs qui roulent dans le cœur
J´voulais les polir comme des pierres
J´les ai aiguisés comme des lames