Ce matin j´ai entendu qu´on fermait la baie de Rio Moi je l´ai jamais vue comme le chantait Nino Pourtant j´en ai pleuré des larmes de crocodile De nous savoir si loin si près Pigalle et le Brésil
Seuls ensemble C´est fou comme nos solitudes se ressemblent Vivement ta peau, vivement ta voix Seuls ensemble qu´un vent nouveau nous rassemble Vivement ta bouche, vivement tes bras
Je me perds dans le limbes où le temps me mange Hier ou demain au fond rien ne change Mais le soir quand à la fenêtre on entend la rumeur Nos voix, nos bras nos gestes tendus vers ceux qui ne comptent plus les heures
On se sent moins seuls ensemble C´est fou comme nos solitudes nous rassemblent Vivement ta peau, vivement ta voix Moins seuls ensemble qu´un vent nouveau nous rassemble