J´me promène cœur éteint, solo dans la ville, aveuglé par les néons, le temps qui passe La mort nous rappelle que l´on tient à la vie, j´crois plus leurs belles paroles donc j´attends qu´ils fassent
On s´aime, on s´déchire, on s´oublie, on fait pleurer nos mères pour un sablé Faut pas m´parler quand j´suis sous piche, j´suis pas sûr qu´mes démons veuillent écouter J´observe la buée sur la vitre, dans c´décor fixé, poto plus rien n´est sûr J´prends mes sous, j´les laisse s´entretuer pour le titre, un jour, j´aurais fini d´compter mes blessures Ils ont volé mon cœur, ils ont volé mon sourire, j´oublie ma vie l´temps d´un soupir J´oublie ma vie l´temps d´un soupir J´me sens seul face au vide, j´me sens comme un réfugié qu´on jette à la mer J´me sens à l´aise dans l´vip ou bien mieux quand j´ai fumé la verte J´veux pas canner en m´disant qu´j´ai passé ma vie à la rêver (eh)
Qui va m´attendre à l´arrivée? (eh) De l´autre côté de la rive, j´ai peur de voir maman ridée
J´dis toujours merci au réveil, je sais qu´la nuit aurait pu m´prendre Wesh, on veut tous faire d´l´oseille, plus que la veille, quitte à tout vendre J´ai du sang d´gagnant dans les veines, il m´en faut plus même si j´vais rendre J´en ai vu passer des belles, te fis pas à mon regard tendre Prévenez tout le monde faudra sonner les cloches, c´est que d´la musique pas le temps pour les cash Beaucoup en parlent, personne changera les choses, tu m´as vu gentil, évite-moi si j´me fâche Des rivières de larmes que j´ai pas versé, enfant terrible depuis le berceau
La miss est fraîche on va converser, j´l´amène à la boum comme Sophie Marceau Dans mes mains, j´ai placé les cartes, le tir est précis, personne qui m´arrête C´est toujours la haine qui m´escorte, j´ai toujours bédave la plus forte Dans mes mains, j´ai placé mes cartes,l e tir est précis, personne qui m´arrête C´est toujours la haine qui m´escorte, j´ai toujours bédave la plus forte
J´me sers un verre (j´me sers un verre), j´pense à ma vie (j´pense à ma vie) Le soir, on traîne en grosse équipe dans la ville J´me sers un verre (j´me sers un verre), j´pense à ma vie (j´pense à ma vie) Le soir, on traîne en grosse équipe dans la ville
Plus j´bois des litres, plus j´m´éloigne du paradise (plus j´bois des litres) Plus j´bois des litres, plus j´m´éloigne du paradise (du paradise) Plus j´bois des litres, plus j´m´éloigne du paradise (plus j´bois des litres) Plus j´bois des litres, plus j´m´éloigne du paradise (du paradise)
Plus j´m´éloigne du paradise (B-NØM, Enfoiré) Plus j´m´éloigne du paradise Plus j´bois des litres, plus j´m´éloigne du paradise Plus j´bois des litres, plus j´m´éloigne du paradise