Le jour se lève à peine, Sur la grande allée d´arbres gelés qui mène, À ta nouvelle maison, Dit-on à ta nouvelle maison, Dit-on à ta nouvelle maison,
Le jour se lève à peine, Et nous suivons à pieds, La voiture qui t´emmène, Vers ta nouvelle maison, dit-on, Vers ta nouvelle maison, dit-on,
On nous a prévenu, Que dessus, Il n´y aura pas ton nom, Il n´y aura pas ton nom,
Et dans ce matin d´hiver, Où pleuvent les corbeaux, De personne, tu ne fut le héro, Le jour se lève à peine, Dans un lit de terre, Quelques hommes t´ammènent,
C´est là qu´est ta nouvelle maison, dit-on, Qu´est ta nouvelle maison, dit-on,
Ni d´amis, ni d´amen, Mêmes les oiseaux idiots, Se moquent tout haut, De te nouvelle maison, Ils ont mêmes pas dit, Qu´t´irait quand même au paradis, Ils ont rien dit du tout, Ils ont rien dit c´est tout,
Et dans ce matin d´hiver, Où pleuvent les corbeaux, De personne, tu ne fus le héros,
Et dans ce matin d´hiver, Où pleuvent les corbeaux,