Adieu le bruit des odeurs Le poids des heures à maudire Les jours de 48 heures Pour ce gueulard de taulard Et le doyen des matons Demain le même haut l’cœur
Demain, dehors Demain, de l’air Et alors, Demain, dehors Demain, de l’air
Et alors, Et après, A quoi bon s´enfermer dehors
Fini les coups de latte, Les coups de blues, les grosses blattes Les fortes têtes, Qui telles des feuilles mortes Se ramassent à la pelle quand vient l’automne, À l’autre bout de la cordelette
Demain, dehors Demain, de l’air Et alors, Demain, dehors Demain, de l’air Et alors, Demain dehors Demain de l´air Et alors Et après, Demain dehors, Demain de l´air, Et alors, Et après, A quoi bon s´enfermer dehors ?