dans mon rêve y’avait l´chant d´une vieille dame qu´avait du en voir de triste bohème un grand feu qui réchauffait nos âmes une lueur d´espoir comme dans un poème
parti en cendres mon rêve a levé l´camp nomadisant sur les routes du destin les rêves ça n´dure jamais longtemps petite roulotte poursuit son chemin
la caravane passe la caravane passe la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter et les chiens n´ont pas fini d´aboyer
dans mon rêve elle passait juste en bas d´chez moi la route des épices parfumait la ruelle venant d´ailleurs et partant par la bas chaque tribu portant sa nouvelle le ronron des balayeuses a eu raison de mes songes et mes rêves s’évanouissent dans l´impasse derrière les murs des murmures la solitude nous ronge
les rues vides nourrissent nos angoisses
la caravane passe passe la caravane passe la caravane passe passe la caravane passe la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter et les chiens n´ont pas fini d´aboyer
Dans mon rêve y’avait des chameaux qui portaient l´monde entier sur leur dos on se pressait pour entrer sous les tentes écouter ses histoires fascinantes j´me suis cogné la tête contre une barrière douanière internée sur une terre inhospitalière les gardes frontière ratissent la cote voila la manière d’accueillir ses hôtes
la caravane passe et c´est pas celle du moine ou celle des vacances la caravane passe partout la caravane passe derrière les palissades sous le pont d´l´autre côté d´la rocaille la caravane passe passe la caravane passe la caravane passe passe la caravane passe la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter et les chiens n´ont pas fini d´aboyer
dans mon reve y´avait l´chant d´une vieille dame qu´avait du en voir de triste bohème un grand feu qui réchauffait nos âmes une lueur d´espoir comme dans un poème
une lueur d´espoir....
la caravane passe passe la caravane passe la caravane passe elle ne fait que passer la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter et les chiens n´ont pas fini d´aboyer