Au gras bien vivant... Les os mal décorés ! Au flûtes de l´amour... Les trompettes de la mort !
Concert de grelots De craquements, d´rots Jacuzzi de fange Les poux me rongent Les pourceaux à ma vue vomissent Vipère mange ma verge et prend sa place
Un corps pointu Des sorts velus Un or venu d´ailleurs Corrompt vos chers élus De cœur, de limites Ceux que légendes imitent Qui sauvent le monde En perruque blonde Qui chiassent la lumière par le cul... Fiente immaculée de paradis déchu Nauséeux jusqu´à la raie, se crashent dans flotte croupis
En naissent vers que chanteront dans dix piges Soudés par la queue, moignons et pattes dans la main Les rats, les infirmes, les prolétaires, vilains !
Au nom du père, du fils de pute qu´il engendra Béni les âmes que la kermesse des enfants morts pendra ! Au nom du père, du fils de pute qu´il engendra... Béni les âmes que la kermesse des enfants morts pendra !
Baculum le 5eme, sorti sa tête de la boue Il vient prôner sa messe dans la nef des fous Héritier des légions alitées, grands guignols En terre sainte comme aux chiottes
C´est l´empereur des forçats Monarque des carnavals, plaint la teille qu´il siphonna
Au nom du père, du fils de pute qu´il engendra Béni les âmes que la kermesse des enfants morts pendra !
Ah ouais, l´état il nous baise ? Et bah moi j´l´encule !
Contraintes ! Disparités ! Haine ! C´est ça, les valeurs de la Rance, hé Qu´un herpès titanesque dévisage leurs vérités Couteau et kalash, sur l´autel des sacrifiés Dans l´four des pontifes, finiront tous refroidi Gardant pour toujours leurs maladies !
Mes pas s´alourdissent et j´vois la vie en prisme J´suis seul, je m´assourdis, et je m´exprime comme un seisme Phallus pâle décline la légion des horreurs C´est le retour du grand départ, vas-y prépare ta crasse Et puis bon débarras, y´a pas d´grand écart Fais saigner ton petit cœur sur les francs poèmes de la peur En exil comme tout tes mœurs chantant pour ces voyeurs N´a pas trouvé repaire au-delà des frontières N´a pas trouvé repaire, pas même dans la cuillère...
Baculum le 5eme, sorti sa tête de la boue Il vient prôner sa messe dans la nef des fous
Héritier des légions alitées, grand guignols En terre sainte comme aux chiottes C´est l´empereur des forçats
Monarque des carnavals, plaint la teille qu´il siphonna Au nom du père, du fils de pute qu´il engendra Béni les âmes que la kermesse des enfants morts pendra
Bois ! Fume ! Crève ! Trop fatigués pour l´office, trop frustré pour vivre Bois ! Fume ! Crève ! Les pieds dans la glace, la tête dans un four, ivre Bois puis fume et crève, mais sache que Se branler en pensant au suicide...