Héro anonyme, battant les collines Son cœur unanime, vainqueur anobli Jette à la mer son Graal à toxine Les fleurs du mal emportent leurs épines
Maudit soit l´être à la face divine Qui doit endosser la charge maline De juger les pourfendus Décide et valide, à la court, vendus Qui de toi ou de toi sera pendu Sous quel arbre, sur quel bûcher Les enfants de ces peines iront cramer La raison le vice, et ses macchabées
Héro anonyme, battant les collines Son cœur unanime, vainqueur anobli Jette à la mer son Graal à toxine Les fleurs du mal emportent leurs épines
‘La société n´est rien qu´une conne.´
Celui qui s´aime se tue mieux que personne! Plèbes ou élites, châteaux, ziggourats
Comptant les décès sur mes doigts nantis Je décime l´hérésie Ces récits, ces récifs Mon soleil est rouge Ma croix bouge Au devant des innocents J´écris tous les testaments
Pourquoi la paix a-t-elle un goût d´essence ? Comment d´un doigt je peux té-bu tes sens ? Commandes wam une fin enivrante Mais fais pas l´insolent, c´est v´la chère la créance A ma table, y´a du rhum en pitance Et des reums en souffrance Mon job dur, c´est grisant Je torture, frissonnant A la gauche de Satan
A la droite du Néant J´suis au d´ssus de tout ces croupissants !
Qui voudra ma mort mourra ! Qui voudra ma mort mourra ! Qui voudra ma mort mourra ! Qui voudra ma mort mourra !
J´lève comme une bite la croix justicière Qui fait trembler ton père et ta mère Mortifère, car sévère est la trique J´enfante plus de cadavres que d´lardons euphoriques
J´ai agrippé tes hanches et ta vie à poigne franche Retourné ta veste, et sur ta manche J´ai morvé, l´œil torve je te regarde
Mère Mort tu as la chatte en mansarde. Hagarde Exténué, j´t´envoi des pleurs de fantômes qui sonnent comme des guimbardes
La main qui réclame du pain Sera coupée demain Sera coupée demain Les jambes qui feront des mains Seront coupées demain Seront coupées demain L´oreille qui entend trop loin Sera coupée demain Sera coupée demain Si l´opération me coûte un rein... Il sera prélevé demain !
J´lève comme une bite la croix justicière Qui fait trembler ton père et ta mère
Mortifère, car sévère est la trique J´enfante plus de cadavres que d´lardons euphoriques
J´ai agrippé tes hanches et ta vie à poigne franche Retourné ta veste, et sur ta manche J´ai morvé, l´œil torve je te regarde Mère Mort, tu as la chatte en mansarde. Hagarde Exténué, j´t´envoi des pleurs de fantômes qui sonnent comme des guimbardes
Daronnes pressent au ventre leurs enfants Tous perdus quand s´entend l´tambour grondant Leurs cris perçant effacent toutes vos supplications A l´ode d´un pays moitié régiment-moitié prison
Né pour me faire chier, et emmerder les autres ! Médaillez moi fort Je peux voir les veaux d´or, les vautours Qui t´dévorent Les condors L´heure qui tourne Qui t´dévore Les pécores Et la boîte de Pandore
Pour l´union pas de douaire Entre le ciel et la terre Y´a mon sexe de fer Ma volonté, ma quête amère
Pauvre ! Sèche ! Maigre ! Menue !
Le front ridé, les cheveux gris Les sourcils cheus, les yeux éteints La Mort !
Pauvre, la Mort ! Sèche, la Mort ! Maigre, la Mort ! Menue, la Mort !
Y´a tant de pays... Y´a tant de dieux... Mais y´a qu´une seule Mort