Il y a plus trop d´main dans la main Tout le monde les a dans les poches Triste comme un lundi matin Ne vois-tu pas qu´le monde est moche ? Même guitare, même baratin
Même refrain, même tralala
De l´amour, de la haine, mais de quel côté trouvera-t-on que la vie nous sera moins chienne ? J´ai la foi, le pouvoir ne m´intéresse pas J´construis car vouloir est essentiel Bats les couilles de vos règles, de vos jolies robes Cuillère après l´autre, c´est quand t´es môme Tristement, l´amitié finit sur un gode Les cœurs sont plats, l´argent donne des formes Dis pas que tu m´aimes, l´amour c´est vicieux Dis que tu me hais, c´est plus judicieux Ça dure qu´un temps je ne crois plus aux vœux J´mise sur ce que j´ai pu lire dans ses yeux Un jour c´est blanc, un jour c´est noir Rien de lavable quand tout est sale L´Afrique a mal, tu vends des disques
Mais pour ton bled tu fais quedal On jouit de la vie soit par amour Ou derrière une vitrine c´est moins glamour On s´menotte à des parallèles De la même religion, on s´déteste c´est quand même fou Avant de vouloir donner des conseils Ferme ta gueule, relis tes convictions La soustraction par la division On renferme nos peurs dans la dérision J´embrasse le verbe, j´caresse les mots T´aimes pas ce que j´fais, va écouter les autres Tu te dis mon frère : "J´vois pas les actes" Plus de bâtards que de patriotes La télévision a fait des putes L´heure du goûter, des seins dans des pubs Un monde virtuel qui se déshabille Et le monde réel est à demi-nu
Tu lèves le poing pour l´injustice Mais t´es bien ce connard qui bat sa femme La paix te regarde à demi yeux Qui perd une fleur fait naître une flamme Une parole peut vite sentir la merde Soit tu tires la chasse ou soit t´avoues Les chiottes restent toujours à leur place Quand les hommes, eux, pissent un peu partout
L´égoïsme comme passion de soi Le troupeau ne fuit pas l´fanatisme La société ne nous change pas C´est nos opinons qui nous déterminent L´égoïsme comme passion de soi Le troupeau ne fuit pas l´fanatisme La société ne nous change pas C´est nos opinons qui nous déterminent
La passion des mots c´est comme l´amour J´raye, j´déchire, j´recommence Homme solitaire sur Aznavour J´mets d´la voix sur mes silences Et tu danses, danses, danses Sur la carotte qu’ils te mettent Et tu chantes, chantes, chantes C´qu’ils veulent entendre dans tes textes À la lumière tout peut se voir Mais c´est dans le noir que tout peut se lire Avec des mots, tu peux y croire Mais avec des actes tout peut s´écrire À quoi cela sert de s´appartenir vu qu’on va tous crever seul
LI y a plus trop d´main dans la main Tout le monde les a dans les poches Triste comme un lundi matin
Ne vois-tu pas qu´le monde est moche ? Même guitare, même baratin Même refrain, même tralala Même tralala, même tralala LI y a plus trop d´main dans la main Tout le monde les a dans les poches Triste comme un lundi matin Ne vois-tu pas qu´le monde est moche ? Même guitare, même baratin Même refrain, même tralala Même tralala, même tralala LI y a plus trop d´main dans la main Tout le monde les a dans les poches Triste comme un lundi matin Ne vois-tu pas qu´le monde est moche ? Même guitare, même baratin Même refrain, même tralala Même tralala, même tralala
LI y a plus trop d´main dans la main Tout le monde les a dans les poches Triste comme un lundi matin Ne vois-tu pas qu´le monde est moche ? Même guitare, même baratin Même refrain, même tralala Même tralala, même tralala LI y a plus trop d´main dans la main Tout le monde les a dans les poches Triste comme un lundi matin Ne vois-tu pas qu´le monde est moche ? Même guitare, même baratin Même refrain, même tralala Même tralala, même tralala