Assis à l´écart des bancs d´écoles. J´cherchais déjà par où m´enfuir. Entre colin-maillard et pigeon vole, Ces lettres à chaque fois qu´on déchire. On fait ses devoirs, ses heures de colles,
En petit soldat qui a rien à dire. Et un jour s´voir en camisole, sans autre choix que d´obéir.
Mi être, mi esclave de personnes. Je suis et resterai qu´un homme. Mais un homme libre. Mais un homme libre.
Sans frontière ni auréole, J´ai gardé la foi pour me construire. Bien sûr y´a des failles qu´on rafistole Mais chaque combat m´a fait grandir. On s´met à croire aux belles paroles Qui t´entendent le soir, qui vous chavire. Dans d´autres bras on se console, Parce qu´une seule histoire vous fais souffrir.
Mi être, mi esclave de personnes. Je suis et resterai qu´un homme. Mais un homme libre. Mais un homme libre. Mais un homme libre. Mais un homme libre.
J´ai vu l´illusoire, l´or et l´alcool faire de vous un roi et vous détruire. Tous ces rêves dit car qui en pleins vole Finissent tôt ou tard par atterrir. J´garde en mémoire des bancs d´école Les petits soldats sans leur navire Mes lettres à chaque fois dans les rigoles Cherchant au hasard par où m´enfuir
Mi être, mi esclave de personnes. Je suis et resterai qu´un homme.
Mi être, mi esclave de personnes. Je suis et resterai qu´un homme. Mais un homme libre. Mais un homme libre. Mais un homme libre. Mais un homme libre.