Quand l´froid battra sur mon hêtre Pour m´éventer, je n´aurai plus qu´à rougir Pour m´envoler ce sera la fin, de cette année Et dans ce monde en colère, j´ai fini par grandir
Murir et être plus légère, pour mieux partir Car on a tous, cette destinée
Le vent rend mon dernier souffle, le terre me tend les bras Toutes mes sœurs une-à-une me rejoignent ici-bas Le temps qui passe laisse des traces dehors et dedans Le vent nous pousse moi et puis tous, loin du printemps
Ce qui comptait c´était la branche, où je suis né Résister aux avalanches et d´observer la révérence Des fleurs fanées La vie court dans tous les sens, comme les vents
Qui m´emmèneront en silence comme cerf-volant de mon cyprès Je serait loin
Le temps qui passe laisse des traces dehors et dedans Le vent nous pousse toi et puis tous, loin du printemps Le temps qui passe laisse des traces dehors et dedans Le vent nous pousse moi et puis tous, loin du printemps
Avant mon dernier voyage, j´aurais voulu vainement Qu´tu sois la fleur de mon page pour un instant Mais les amours mortes si, sont vont au vent
Le vent rend mon dernier souffle, le terre me tend les bras Toutes mes sœurs une-à-une me rejoignent ici-bas Le temps qui passe laisse des traces dehors et dedans Le vent nous pousse toi et puis tous, loin du printemps Le temps qui passe laisse des traces dehors et dedans Le vent nous pousse toi et puis tous, loin du printemps