Demain soir, on a pas le choix on va devoir déménager mais bon, disons qu´y´a pas le choix C´est la hass mon ami, j´vais pas t´le caché Heureusement qu´on est ensemble, hmm solidaire La mer, on la sent ensemble
Y´a mon gava qui affronte la justice et son petit frère qui tente de l´imiter Sa daronne débarque le visage triste, elle se demande si elle l´a mérité Tu peux fuir : fais le Le bando t´avale, fait de toi un haineux T´as échouer, fais mieux On a rien sans rien, y´a personne qui va se vé-le pour toi
Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi C´est gris, mais qu´est-ce que tu veux, on l´accepte Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi Ça s´vide car on a plus aucun accès J´ai mal, j´ai mal, j´ai mal, j´ai mal J´ai mal, mais qu´est-ce que tu veux, je l´accepte
Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi, chez moi J´ai mal, où vont les ténèbres? Tout mes gars s´y mettent À travers la fumée, j´veux plus voir les sirènes Chez moi, chez moi
La rue nous méprise Moi perso, j´ai fuis, j´ai fuis, j´ai fuis Le mec au quartier pense que j´l´ai ves-qui, ves-qui, ves-qui La taule ça me ment pas, tout le monde peut tomber, tomber, tomber Les prisons sont blindées, l´Etat a fait son blé, son blé, son blé
Y´a mon gava qui affronte la justice et son petit frère qui tente de l´imiter
Sa daronne débarque le visage triste, elle se demande si elle l´a mérité Tu peux fuir : fais le Le bando t´avale, fait de toi un haineux T´as échouer, fais mieux On a rien sans rien, y´a personne qui va se vé-le pour toi
Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi C´est gris, mais qu´est-ce que tu veux, on l´accepte Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi Ça s´vide car on a plus aucun accès J´ai mal, j´ai mal, j´ai mal, j´ai mal J´ai mal, mais qu´est-ce que tu veux, je l´accepte Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi, chez moi J´ai mal, où vont les ténèbres? Tout mes gars s´y mettent
À travers la fumée, j´veux plus voir les sirènes Chez moi, chez moi
Les meufs font les escortes, les schtars sont planqués À chacun son rrain-té poto, l´objectif c´est banquer Encore un R.I.P, il s´est fait planté L´argent et les femmes encore, par rien d´autre on est tenté Prince de la mala, non y´a pas plus malin On sait qu´on se fait du mal et ça attire le malheur L´argent divise mais la misère, ça unit J´sais pas mais ça rassure de s´dire qu´on est pas unique
Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi C´est gris, mais qu´est-ce que tu veux, on l´accepte Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi Ça s´vide car on a plus aucun accès J´ai mal, j´ai mal, j´ai mal, j´ai mal J´ai mal, mais qu´est-ce que tu veux, je l´accepte Chez moi, chez moi, chez moi, chez moi, chez moi J´ai mal, où vont les ténèbres? Tout mes gars s´y mettent À travers la fumée, j´veux plus voir les sirènes Où vont les ténèbres? Tout mes gars s´y mettent À travers la fumée, j´veux plus voir les sirènes Chez moi