Aujourd´hui grâce à dieu je vois le campanile Qu´un jour j´avais laissé un beau matin d´avril Enfant j´étais partie je reviens après tout Pour trouver le repos mais je suis à genoux
Ô cloches taisez vous, ne brisez pas mon rêve Cet exilée qui passe a besoin d´un trace J’aimerais encore entendre le doux chant des oiseaux Et revenir ainsi, c´est retrouver en moi votre enfant du pays
Dormant sous les fougères dans ce vieux cimetière Mes amis, ma famille quel triste mois d´avril Je me trouve maintenant tout à côté de vous Je m´incline à présent j´ai grandi loin de vous
Ô cloches taisez vous, ne brisez pas mon rêve Cet exilée qui passe a besoin d´un trace Je veux entendre encore le doux chant des oiseaux Et revenir ainsi, c´est retrouver en moi votre enfant du pays