Troubles mentaux, double mentons tu sais qui c´est J´ai beau me gaver d´riz blanc ta musique me fait chier En vérité pour moi c´est pas un trip durable
J´arrête le jour où ma daronne apprend que j´fais du rap Mes gars et moi slaloment entre amours et barbarerie Sa baise des p´tites provinciales qui sont fascinées par Paris En sursis j´en ai conscience Et j´me méfis de tout le monde y´a pas de trahison sans confiance J´évite les histoires de Gangster, de guns sous l´coussin J´ai peur d´la mort, donc j´me contente de son cousin J´men bas les reins de qui t´es : Martin ou Diakité Représente ma ville que je rêve chaque jour de quitter Les pseudos puristes voudraient qu´j´écrive à la bombe
Misanthrope jusqu´à la mort j´veux des Chrysanthèmes sur ma tombe Appel moi l´armoire à glace, salope lèche ma vitrine J´en place une pour mes soldats qui savent c´que c´est qu´une vie triste
(x2) Et j´ai toujours les mêmes frissons dès q´la zik démarre Beat, stylo, feuille chaque jour j´écris des classiques. Des barres/ De voir comme la vie change Comme les potes changent Comme les putes changent
Dit à Mokobé que j´mange trop, j´ai aucune chance de maigrir
Y´a ceux qui sont bon en orthographe et ceux qui savent écrire Joue pas les maquereau avec nous, c´est volontier qu´on fourre ta gow On nique des mères en mode cougar à la Nelly Furtado La vie c´est Pink-TV, frère y´a rien de bandant Comme une meuf en décolleté j´essaie de contrôler mes penchants L´envers du décor c´est qu´y´a pas qu´des rats sous les ponts J´passe du rock au rap car les premiers amours sont rarement les bons Si tu marches pas croit pas qu´tu puisse courir mieux Les meilleurs partent les premier, souris, tu vas mourir vieux J´partais déjà en couille quand Monoprix s´appelait Prisunic
Chez nous les bons moments sont rares comme un cain-Fri fils unique Nique ta compil´, téma les merdes que t´as mis Nique le carré V.I.P j´préfère mon cercle d´amis J´viens d´la où les minots t´arrachent ta montre en courant Mon rap est plus musclé vu qu´il nage à contre courant
( x2) Et j´ai toujours les mêmes frissons dès q´la zik démarre Beat, stylo, feuille chaque jour j´écris des classiques. Des barres/ De voir comme la vie change Comme les potes changent Comme les putes changent