C´est plus que des blazes, des mimiques, on raconte pas de conneries Souvent j´dépasse les limites comme un tit-pe qui colorie Endolori, par mon existence la cuillère colle au riz
Je cède au vice, dépense plus de billets que de calories Ralentis la galenterie les gow aiment les connards Bientôt le palmarès à Cohen Leonard Musique rap, écoute les poèmes des zonards Hélas, on mène pas la vie de bohèmes raisonnables Pour les gadjos, les gadjis un bonhomme dans le rap, c´est devenu rare comme un score de vente à quatre chiffres Joues pas le badboy, ça peut rapidement s´empirer T´as menti pour mentir, moi j´ai menti pour m´en tirer La fête, je l´ai trop faite que des putes au JT Mes potos portent le nom du prophètes et s´butent au JB
Si elle est bonne accoste-la, montre lui tes lovs Tu payeras ta nuit d´tel-hô même si t´es sapé en coste-La Qui a crut si fier les pistonnés sont pas en droits Ceux qui veulent me cruxifier finiront les bras en croix J´viens nettoyer ces vers de terre Signe moi mon chèque deux mille Tester ? Tu préfères te taire : t´as moins de flow qu´une schnek de vieille Tu réalises ta solitude lorsque tes pélos filent Plaire à tout le monde, ça veut dire plaire au keufs, au pédophiles T´en verrais dans les clips si j´avais assez pour des gov´s Pas de ces rappeurs qui deviennent riches en s´faisant passer pour des pauvres
On sort le ruban adhésif si les cris durent Le rap est malade, alors je soigne l´écriture J´aurais pas le disque d´or avec du son en bois Et j´vais toujours pas en club, y´a que du thon en boîte Le chrome entre les menottes, j´entends les pions qui vocifèrent Meilleur que vous messieurs, faudra bien vous y faire Tu connais l´adresse. Tu n´es pas de taille à jacter Bazoo ça sent la tess´ comme un match de thaï à Japy
(x2) La street est remplie de salopes, heureusement qu´il reste les braves J´ai posé trop de bombes, les démineurs baissent les bras
Les rimes fusent dans mon cortex J´entends pas la concurrence à cause des corn flakes