J´rêve du million toute l´année Mes gars m´disent j´suis un putain d´phénomène Y a que moi et mes couilles dans mon armée C´est pas la vie qu´on veut mais c´est la vie qu´on mène Finalement, j´aime la vie, c´est la plus la même, j´fais un virement à ma mère Tu m´donnes le go, j´marque le goal, toujours livré à moi-même Mes ennemis sont à la traine, j´me demande qui sera là après Pluie d´euros, quitter l´zoo, pour la vue devant la mer, oh-oh
Fumée nocive, ici on respire pas, on tousse (On respire pas, on tousse) J´avais déjà faim, j´faisais même pas la taille d´un pouce (La taille d´un pouce)
Billets arc-en-ciel, pourvu qu´l´oseille recouvre la pelouse Parce que le cœur d´mes frères est sec, ici, on grandi pas, on pousse Téléphone coupé, pas d´mobile, ce soir j´enfume la Bat Mobile Si y a les shtars, ça regarde ailleurs, mentalité des gars d´nos villes On connait les dégâts d´nos vies, on connait les formes de ta sœur La vérité prend l´escalier, j´la baratine dans l´ascenseur On mène des vies d´acharné, charbon nous a charmé Ça fait déjà des années, j´en ai vu des fleurs fanées Plus personne dira : "Jamais", j´veux des châteaux, des chalets
Dans la plus grande des vallées, aller
J´rêve du million toute l´année (Tout l´année) Mes gars m´disent j´suis un putain d´phénomène (Phénomène) Y a que moi et mes couilles dans mon armée (Woah, oh) C´est pas la vie qu´on veut mais c´est la vie qu´on mène Finalement, j´aime la vie, c´est la plus la même, j´fais un virement à ma mère Tu m´donnes le go, j´marque le goal, toujours livré à moi-même Mes ennemis sont à la traine, j´me demande qui sera là après Pluie d´euros, quitter l´zoo, pour la vue devant la mer, oh-oh
Dès l´début, c´était pour la mif, moi, j´l´ai jamais fait pour la fame Des faux négros, bandeurs de go, j´ai jamais vu dans les affaires Ouais, l´ami, j´ai pris mon fer, c´est plus facile pour les affaires Se lever tôt pour réussir, j´l´ai jamais fait mais j´fais l´affaire Oh boulot, j´bois concurrence au goulot Béni, j´sors la tête de l´eau, midi, minuit, j´dois écouler Des cicatrices, des plaies, bébé, j´te tej´ même si tu m´plais Ils veulent la guerre et demandent la paix T´as pas bossé, tu veux ta paie, T´as pas d´manette, tu veux la Play (Eh, eh, eh)
Dis-moi en fait, gros, tu veux quoi ? J´suis dans un monde pourri où quand t´es bon, on t´cloue sur une croix J´suis pas parfait, j´ai plein d´défauts, j´sais qu´jsuis un vrai, eux, c´est des faux Le four débite, sous le nez des flics
J´rêve du million toute l´année Mes gars m´disent «j´suis un putain d´phénomène» Y a que moi et mes couilles dans mon armée C´est pas la vie qu´on veut mais c´est la vie qu´on mène Finalement, j´aime la vie, c´est la plus la même, j´fais un virement à ma mère Tu m´donnes le go, j´marque le goal, toujours livré à moi-même
Mes ennemis sont à la traine, j´me demande qui sera là après Pluie d´euros, quitter l´zoo, pour la vue devant la mer, oh-oh
Woah-oh, woah-oh, woah-oh Woah-oh, woah-oh, woah-oh-oh Woah-oh, woah-oh, woah-oh (Myth Syzer est passé par là)