Fluide et sûr de moi
En apparence, en élégance
Je regarde et j´octroie
De la patience
Poser sur une terrasse

L´assurance et la grâce
Défile et me dépasse
Que veux-tu que j´y fasse ?

J´aime les femmes, j´aime les femmes
Les élégantes, les jeunes, les grandes dames
J´aime les femmes
Les décadentes joueuses me remplissent l´âme

Derrière mes Ray-Ban de jeune mâle en fièvre
Je scrute, suppute, des scénari de rêve
J´aime rêver, moi, tant que j´aime
Le reste m´importe peu

Célibataire ou possédé
Qui me possède ? Je vous laisse deviner...
La tempérance et la beauté
À vous mesdames, je dois ces qualités

J´aime les femmes, j´aime les femmes
Les élégantes, les jeunes, les grandes dames
J´aime les femmes
Les décadentes joueuses me remplissent l´âme

Stabilisé, pourtant bien entouré
Habile est l´idée de se montrer aveugle
Tout en sachant que cette cécité
N´est qu´un leurre

J´aime les femmes et ne cesse
De les dévisager, mater leurs fesses
Vicieuses, pieuses ou vulgaires

J´aime les femmes, j´aime les femmes
Les élégantes, les jeunes, les grandes dames
J´aime les femmes

Les décadentes joueuses me remplissent l´âme

Et j´aime les femmes