En quittant la chambre, aux draps blanc maculé J’écrasais ma cendre, de la neige en plein mois de juillet En quittant les draps, j’ai déposé sur ton front
Un baiser plus froid, plus froid qu’une lame de fond
Si j’avais su que c’était, la dernière nuit d’amour Je me serai tu, ou tué, si j’avais su qu’autour de nous Virevoltaient les vautours
J’avais tour, l’amour, le tennis J’aime tes rires, l’intérieur de tes cuisses On faisait tout, l’amour puis la guerre On se manquait de respect, mais en vers
Dans la chambre en vire, on nous nous sommes tant aimé Moi j’ai le cœur sinistre, charmante maison de plein pied
En quittant la chambre, c’est la vie, la vie que je quittais Comme j’avais le cœur tendre, comme j’envie, j’envie celui que j’étais
J’avais tour, l’amour, le tennis J’aime tes rires, l’intérieur de tes cuisses On faisait tout, l’amour puis la guerre On se manquait de respect, mais en vers
En quittant la cage, la cage immaculée C’était la rage, que je m’inoculais Comme le pire des enculés Comme le pire des enculés Comme le moins swag des califs J’étais p12 aux qualif´
L’amour, le tennis, l’intérieur des cuisses
J’avais l’amour, le tennis, l’intérieur des cuisses L’amour, le tennis, l’intérieur des cuisses J’avais l’amour, le tennis, l’intérieur des cuisses
L’amour, l’amour, l’amour, l’amour, mour, mour, mour, le tennis L’amour, l’amour, l’amour, l’amour, mour, mour, mour, le tennis L’amour, le tennis, l’intérieur de te cuisses L’amour, le tennis, l’intérieur de te cuisses