Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes Des jours heureux où nous étions amis. En ce temps-là la vie était plus belle, Et le soleil plus brûlant qu´aujourd´hui. Les feuilles mortes se ramassent à la pelle.
Tu vois, je n´ai pas oublié... Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Les souvenirs et les regrets aussi Et le vent du nord les emporte Dans la nuit froide de l´oubli. Tu vois, je n´ai pas oublié La chanson que tu me chantais.
C´est une chanson qui nous ressemble. Toi, tu m´aimais et je t´aimais Et nous vivions tous deux ensemble, Toi qui m´aimais, moi qui t´aimais. Mais la vie sépare ceux qui s´aiment. Tout doucement, sans faire de bruit Et la mer efface sur le sable Les pas des amants désunis. Mais la vie sépare ceux qui s´aiment. Tout doucement, sans faire de bruit
Et la mer efface sur le sable Les pas des amants désunis. Et la mer efface sur le sable Les pas des amants désunis.
C´est une chanson qui nous ressemble Toi, tu m´aimais et je t´aimais Et nous vivions tous deux ensemble, Toi qui m´aimais, moi qui t´aimais. Mais la vie sépare ceux qui s´aiment, Tout doucement, sans faire de bruit Et la mer efface sur le sable Les pas des amants désunis.
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par Yves Montand