u marches dans la rue Tu croises des humains Qui parfois se ressemblent Mais ne se parlent pas Mondes parallèles Tu frôles des histoires
Des indices de pudeur Des visages qui s’effleurent ` Et puis regardent ailleurs Tout est étanche La rue est un tissu De mondes parallèles De dimensions voisines Vélos et limousines Qui s’agitent et s´élancent En toute indifférence Les shorts et les jeans Les justes et les joueurs Les inquiets du péage Ou bien de l’héritage La fin du monde l´obsède Lui attend un remède Pour le foie et le coeur Elle te touche par erreur Et vos regards s’échangent Dans un silence étrange Chacun poursuit son but Oublie celui de l’autre Nous avançons tout droit Ne te retourne pas Chacun poursuit son but Oublie celui de l’autre Nous avançons tout droit Ne te retourne pas