[oli] -bigflo et oli... -un freestyle de plus ou plus qu´un freestyle..... -l´album arrive, l´album arrive....
[ Oli et bigflo ] -Hey yo est-ce que quelqu´un m´écoute, tant pis d´façon, j´rime dans le vide passons, j´ai écrit des p´tits chansons Si Dieu existe, dieu merci, j´respire et j´aspire face à un avenir fils, face au fils j´reste clin. Même si beaucoup parle, ici peu agisse, des abruties de toute part rêve qu´on s’assagisse. Est-ce que c´est ça la vie, cherché ce qu´il y à après, armé j´profite au qu´à où elle m´echaperai.
Avant la fin du match, j´suis couché sur le tatami, je fais pas grand chose pour voir mes amis m’éloignant de ma famille, au ralentit naviguant dans ma vie ques qui m´arrive, ma chambre ravie, ma rime grandissante, ma ligne hante mes nuits !
Et j´m´imagine dans dix ans, quel panique quand j´y pense j´sais même plus si j´ment quand j’m´exprime gentiment esprit en ciment, enivrant,comptant sur la chance d´un adolescent chiant, et , souffrant en silence.
J´ai de la bouteille dans mes vers, mon frère un talent fou, j´suis galant, pour moi c´est la musique avant tout. Voir des pauvres types abrutir nos p´tits frères c´est ragant, bientôt je t´entrai le concours pour rentrée dans l’école du micro d´argent.
j´me dévoile, et j´me rhabille, j´bouge,
l´attentat dans une maternité, c´est pas un baby boum, c´est pas demain qu´y aura plus de guerre, j´imagine bien, il ont caché la colombe de la paix dans le chapeau d´un magicien.
J´ai peur du noir, j´sais pas me battre, mais sa me gène pas, dans le feu de l´action j´entend des voix, un peu comme Jeanne d´arc. je m´acharne car je l´aime fort et jamais j’abandonne. Le rap est mort, mais je crois au fantôme.
Mon art, l´essence de mon âme, Léo-léonard renaissance du nouvelle arme, fléau contre tout ces connards,
Bigflo c´est Oli, Oli c´est Bigflo, c´est pas un groupe mais un solo.
je remplis mes vers de larmes, mais les gens n´y voient que de l´eau.
La vie est un looping, fait gaffe à la descente.
Aujourd´hui je suis a Brookline, demain je serais seul dans ma chambre.
Le poids des mots est puissants, sois prudent tu serai sympas, Il n´y à qu´un pas, entre je t´aime, et je t´aime pas.
j´ai tout mis dans mes textes,
dessellant mes biceps, sa se bouscule dans ma tête, depuis 97.
Alors c´est vrais qu´on se couche tard, et qu´on enchaîne, Le rap c´est comme la moutarde, moi je l´aime à l’ancienne.
Le vent tourne, grâce à vous, on vas voler ensemble.
à ma naissance, j´ai compris que ma mère en avez dans le ventre, apprenti dans le rap, c´est ici que j´ai fait mes classes, semi autistes, frère d´Iti, j´rêvais de laisser une trace, Oli.