T´as l´coeur oppresser face à lui pourquoi m´ignore t´il ? Tant de questions chahutent tes nuits, T´aimerai goûter ses lèvres elles qui comme aimants t´attirent
Tu fais l´interressé quelque soit le sujet de ses dires
Obsédé par ce jeux de regards, tu attends l´go, Mais quand l´un de vous s´approche trop, Vous faites comme si l´un ne cherchait plus l´autre, Je sais qu´être côte à côte fait grandir les ailes des papillons Qui se bousculent quand tu l´frôles,
La peur de tout gâcher fait que tu ne tentes rien, Egoisme caché car ce jeu t´emplit de bien, Je connais ce bonheur il a le meilleur des parfums Le briser te fait peur car tu redoutes le lendemain,
Tu sais chaque début nous fait tous un peu peur, Va t´on se perdre vraiment si l´on ouvre nos cœur, C´était pareil pour moi quand j´ai trouve l´âme sœur, Je cherchais le requin dans cette vague de douceur,
L´amour est un mystère que l´homme ne comprends pas, C´est ce qui fait sa beauté lui qui vient par hasard Te poses pas trop de questions quand il s´adresse à toi Lui qui au fil du temps est devenu si rare, Si tu le sens n´attends pas, Cupidon est sournois
Il peut tirer d´autres flèche pour t´embeter crois-moi, Les remords font de cette frayeur un ressenti banal, Alors fonce et dis-lui ces deux mots qui nous lacent,
J´ai écouté la petite voix, vous savez quoi ? Les regards ne trompent pas J´ai gommé tous les nuages, fini l´orage, seul le bleu guide mes pas,
Tu vois comme les petites choses peuvent changer une vie, Quand c´est trop beau ça fait peur mais faut simplement dire oui,
Tu sais chaque début nous fait tous un peu peur,
Va t´on se perdre vraiment si l´on ouvre nos cœur, C´était pareil pour moi quand j´ai trouve l´âme sœur, Je cherchais le requin dans cette vague de douceur,
L´amour est un mystère que l´homme ne comprends pas, C´est ce qui fait sa beauté lui qui vient par hasard Te poses pas trop de questions quand il s´adresse à toi Lui qui au fil du temps est devenu si rare, Si tu le sens n´attends pas, Cupidon est sournois Il peut tirer d´autres flèche pour t´embeter crois-moi,
Les remords font de cette frayeur un ressenti banal, Alors fonce et dis-lui ces deux mots qui nous lacent,