Alone I walk, hearing a voice, That´s calling my name No one with you, God, why I didn´t care On through death take me away To the place time will not fade
Colder than dead, Darkness - eternity, But look out
A hundred thousand centuries The sun had never seen So near but much too far Eternal place you know what´s life But cannot tell
I can never see you changing But you look to me Time will never heal your wounds But you´re immortal
Hall of the King a vision of the end Hall of the King don´t cry for us Don´t hear us calling Oh watch out for me Hall of the light My last sin
You find yourself, just take a look To see you must open your eyes Like a hawk in the sky, a wonder that dies Don´t ask me why
You´re the birth and you´re the end You´ve been hurt but you´re not dead Discovering you is what should never be Poisoned are our souls, And dark our hearts Ruins we have left to rule the world Destructive are our minds, It´s much too late
Traduction
Je marche seul, entendant une voix, ça m´appelle Personne n´est avec toi, Dieu, pourquoi je ne m´en soucie pas ? Bien que la mort me prenne Dans un endroit où le temps ne s´estompera pas
Plus froid que la mort, Ténèbres - éternité, Mais regarde ailleurs
Une centaine de milliers de siècles, le soleil n´a jamais été vu Si proche mais trop loin, Eternel lieu où tu sais ce qu´est la vie Mais te ne peux le raconter
Je ne pourrais jamais te voir changer Mais tu m´observe Le temps ne soignera jamais tes blessures Mais tu es immortel
La Salle du Roi, une vision de la fin La Salle du Roi, ne pleure pas pour nous N´écoutez pas notre appel, observez pour moi la Salle de la lumière
Mon dernier péché
Tu te trouves, jette qu´un oeil pour voir que tu dois ouvrir tes yeux Tel un faucon dans le ciel, une merveille qui meurt, ne me demande pas pourquoi
Tu es la naissance et tu es la fin Tu as été blessé mais tu n´es pas mort Tu découvres ce que tu devrais être Les âmes sont empoisonnées, et nos coeurs sont ténébreux Nous avons laissé des ruines pour conquérir le monde Nos esprits sont destructifs, c´es bien trop tard