Ça n´a pas changé, j´ai toujours le même trou dans l´estomac Pour l´instant, rien qu´ils s´marrent, dans quelques temps, y a tous leurs doigts qui s´mordent
Ils prennent peur donc ils baissent stores J´ai pas fini, c´est que l´début d´l´histoire Pour combler mon trou dans l´bide, il m´faut l´équivalent d´trois sacs de sport Mes pas font le poids des basses, ultra, on s´impose comme des boss Bien sûr qu´on attend qu´ça brasse, comme un acharné, on lâche R, ça bosse Me fais pas perdre mon temps, tes plans bizarres, je sens d´ici qu´ça pue T´as fini d´rec ta merde, de toute façon, t´es juste un clone de plus
Le ciel sourit juste un peu, j´crie pas victoire, ça peut durer qu´trois jours Les pieds sous un bureau, jamais d´la vie, ultra au sommet d´la tour
Jamais j´crève dans l´usine ou dans les vignes, j´y pense même pas, négro, j´passe mon tour Un Land Rover tout noir et du sang d´racelard sur mes sapes, j´demande pas grand chose J´rentre dans le studio, il est neuf du soir, j´ressors à sept heures quand le soleil s´pose La lueur du bas va brûler tes rétines J´suis comme la boule de gaz, il croit qu´il va m´éteindre On dessine les plans pour ves-qui la routine Ta tête sur le crépi, la maison, j´vais repeindre J´ai r´troussé les manches quand j´étais dans la boue J´ai la barre quand il sait pas tout c´que j´élabore U.L.T, j´fais l´effet d´un défibrillateur On les a dans l´viseur, on va pas les rater
C´est mon job, d´écrire le cœur tout éraflé J´ai jeté beaucoup d´pages, j´en ai fait, des ratures Ma vision d´la vie, c´est ultra Avec huit garages et pas mal de voitures S-A-N-J-I, le troisième impact, il a mit l´son à fond, il a plus d´toiture
Ça n´a pas changé, j´ai toujours le même trou dans l´estomac Pour l´instant, rien qu´ils s´marrent, dans quelques temps, y a tous leurs doigts qui s´mordent Ils prennent peur donc ils baissent stores J´ai pas fini, c´est que l´début d´l´histoire Pour combler mon trou dans l´bide, il m´faut l´équivalent d´trois sacs de sport
Ça n´a pas changé, j´ai toujours le même trou dans l´estomac
Pour l´instant, rien qu´ils s´marrent, dans quelques temps, y a tous leurs doigts qui s´mordent Ils prennent peur donc ils baissent stores J´ai pas fini, c´est que l´début d´l´histoire Pour combler mon trou dans l´bide, il m´faut l´équivalent d´trois sacs de sport