đŸ’ƒđŸŽ€ Paroles de chanson Française et Internationnales đŸŽ€đŸ’ƒ

 A   B   C   D   E   F   G   H   I   J   K   L   M   N   O   P   Q   R   S   T   U   V   W   X   Y   Z   0   1   2   3   4   5   6   7   8   9 
Artiste : Bob Dylan
Titre : I Want You
The guilty undertaker sighs
The lonesome organ grinder cries
The silver saxophones say I should refuse you
The cracked bells and washed-out horns
Blow into my face with scorn

But itÂŽs not that way
I wasnÂŽt born to lose you

I want you, I want you
I want you so bad
Honey, I want you.

The drunken politician leaps
Upon the street where mothers weep
And the saviors who are fast asleep
They wait for you
And I wait for them to interrupt
Me drinkinÂŽ from my broken cup
And ask for me
Open up the gate for you

I want you, I want you
Yes, I want you so bad

Honey, I want you.

Now all my fathers theyÂŽve gone down
True love theyÂŽve been without it
But all their daughters put me down
ÂŽCause I donÂŽt think about it.

Well, I return to the Queen of Spades
And talk with my chambermaid
She knows that IÂŽm not afraid
To look at her
She is good to me
And thereÂŽs nothing she doesnÂŽt see
She knows where IÂŽd like to be
But it doesnÂŽt matter

I want you, I want you
Yes, I want you so bad

Honey, I want you.

Now your dancing child with his Chinese suit
He spoke to me, I took his flute
No, I wasnÂŽt very cute to him - Was I?
But I did though because he lied
Because he took you for a ride
And because time was on his side
And because I ...

I want you, I want you
Yes, I want you so bad
Honey, I want you.

Traduction
Le croque-mort coupable soupire,
L’écorcheur d’orgue de barbarie solitaire pleure,
Les saxos argentĂ©s disent tous que je devrais t’ignorer,

Les cloches fĂȘlĂ©es et les trompettes Ă©raillĂ©es
Me soufflent au visage leur sarcasme,
Mais rien n’y fait.
Je n’suis pas venu au monde pour finalement te perdre !

Je te veux, je te veux, je te veux,
Avec tant de force !
Mon amour je te veux !

Le politicien bourré sautille dans la rue
OĂč des mĂšres sont en larmes,
Les salvateurs dans leur sommeil profond,
T’attendent.
Et moi j’attends une occasion, d’arrĂȘter
De siroter ma tasse ébréchée,
Pour qu’ils me demandent

De t’ouvrir grand la porte

Je te veux, je te veux, je te veux,
Avec tant de force !
Mon amour je te veux !

Maintenant mes aĂŻeux sont sous terre.
J’peux dire qu’ils n’ont jamais connu le grand amour.
Et toute leur féminine filiation me fait des reproches.
Parce pour moi, ces choses la n’ont pas d’importance.
Bon je retourne auprĂšs de ma Dame de pique,
je discute avec ma femme de chambre.
Elle sait que je n’ai pas peur de la regarder.
Elle est bonne avec moi
Et trĂšs vigilante.

Elle sait oĂč j’aimerais ĂȘtre Ă  l’heure qu’il est
Mais rien n’y fait.

Je te veux, je te veux, je te veux,
Avec tant de force !
Mon amour je te veux !

VoilĂ  que ton enfant danse dans son costume chinois,
Il m’a parlĂ©, je lui ai pris sa flĂ»te.
J’ai pas Ă©tĂ© vraiment gentil avec lui
Pas vrai ?
Mais, j’ai fait ça, parce qu’il t’a menti,
Qu’il t’a baladĂ©e
Et que le temps jouait trop en sa faveur
Et parce que je 


Je te veux, je te veux, je te veux,
Avec tant de force !
Mon amour je te veux !