Nous étions trois J´ commenc´ par moi Moi que l´on traite de poèt´, Car je fais des vers, Un nivernais ... Très raftiné Surnommé, Oh ! qu´c´est bît´ L´esthète de Nevers
J´ai tout dit sauf - Lc Philosoph´... Je vous présent´ - Trois dillettan - tes Et j´vous dis : - Nous : moi, le philosophe et l´esthète, oimons qu´un´ Présentation S´fass´ sans façons
C´était l´été Et telle était Notre soif de tout c´qui est aqueux Même un piano Aurait été Pur nous tété Avec félicité Si licit c´eut été Même illégal Quel vil régul Nous eussions fait D´un jus d´fluxion... frais Et j´vous dis - Nous : moi; le Philosophe et l´esthète, aimons qu´un Soif à ce point ça n´se fass´ point
Mais v´là t´y pas ...Qu´là à dix pas Je vois des mûr´s mûrs Sur un mur, Et je murrnur´ : A m´y hausser ...Amis osez En poussant Par en D´sous mes souliers souillés Quand j´suis su´l faite ... Un´ suisse helvète Me dit : Sach´ qu´ cett´ C´hos´ ça s´achète Mais j´lui dis; Nous : moi, le philosophe et l´esthète aimons qu´un - ne faç´ de fcss´ Se pass´ de pez´
Elle se fache Et là c´est vache Sous l´séant, M´enlaçant Sal´ment, Ah ! l´sal´ moment ! Ell´ me bascule Et m´émascule "Quel sang qu´on perd !" Dis´t mes compèr´,
"Lampons-le de puir" Ell´ les repousse Pourl ier ma bourse D´un fils à plomb Ah ! quel vil aplomb Mais j´lui dis : Nous : moi, le philosophe et l´esthète aimons qu´un´ Fausse asepsie S´fasse à ces p´tits... Bobos