Monsieur Blanc, jamais de repos, sept heures du matin, déjà au boulot, fatigué avec tout ce bruit, n´a pas fermé l´oeil de toute la nuit. Et là-bas, là-bas, tout là-bas,
dans un´ île gross´ comm´ un p´tit pois.
Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm´tout, dans un coquillage d´argent, écoutent chanter l´océan. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm´tout, ont cueilli pour s´habiller des guirlandes d´orchidées.
Monsieur Blanc courir pour manger, courir pour travail, courir pour aimer, Monsieru Blanc regarder cent fois si la p´tite aiguille, elle est toujours là. Et là-bas, là-bas, tout là-bas, dans un´ île gross´ comm´ un p´tit pois.
Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm´tout, pour se donner du mouv´ment, dansent, dansent dans le vent. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm´tout, ont cueilli pour déjeûner, un panier de fruits dorés.
Monsieur Blanc pilule pour le coeur, pilule pour le foie, pilule pour sa soeur, tout l´argent donné au docteur, donné avocat, donné précepteur. Et là-bas, là-bas, tout là-bas, dans un´ île gross´ comm´ un p´tit pois.
Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm´tout,
passent le temps à s´embrasser en s´frottant le bout du nez, Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm´tout, s´endorm´nt sur un lit de fleurs sans connaître leur bonheur. papous, papous, deux papous..