Ce fut un choc dans ma poitrine, quand je le vis dans ta vitrine, caché derrière un´ mandoline, ton cor. il me facina et tremblant,
je suis entré presqu´haletant, il m´attira comme un aimant, ton cor.
Ah ! ce que j´aim´rais souffler dedans, souffler dedans bien fort. Ah ! ce que j´aimerais souffler dedans, souffler dedans ton cor.
Souviens-toi je restais muet, je le regardais, le fixais, du bout des doigts je l´effleurais, ton cor. Tu souriais, je te revois, en constatant tout mon émoi, tu me l´as placé dans les bras, ton cor.
Ah ! ce que j´aim´rais souffler dedans, souffler dedans bien fort. Ah ! ce que j´aimerais souffler dedans, si tu m´prêtais ton cor.
Comme un petit enfant gâté, sur mon coeur je l´ai caressé. Je t´ai dis puis-je l´essayer, ton cor. Tu m´as dit oui, d´un ton bonasse, alors comme quelqu´un qu´on embrasse, j´ai soufflé fort avec audace, dans ton beau cor, ton cor de chasse.