Arrête de me dire que tu veux te barrer Que tu ne veux plus me voir Ce n´est pas la première fois que l´on saigne Pleure, tu pisseras moins un soir Déteste moi, rien à cirer
Mais baisse d´un ton je te le redirai pas deux fois T´iras nul part à cette heure-ci surtout habillée comme ça Que tu le veuilles ou non, nous somme liés A l´infini, aller-retour Je suis le seul qui pourrais être gifler Avec autant d´amour même si je sais que parfois j´abuse J´deviendrais quoi si tu t´en allais Y´a que les aiguilles de la pendule qui pourront nous séparer Meïlia...
Ah parce que tu crois qu´ailleurs c´est mieux, non mais t´es sérieuse Les princes charmants ça court les rues autant que des billets de 500 E
J´suis mille fois meilleur qu´eux J´suis même cent mille fois meilleur qu´eux Que ces menteurs, ces acteurs Féroces prédateurs et tout ces bons à rien de prétentieux Carabine, c´est le premier mot qui m´vient en tête Chaque fois qu´j´t´imagine loin de moi dans les bras d´un autre mec Quand est-ce que t´arrêtes ? Tes caprices ridicules m´ont saoulé Reviens, j´te promets d´être gentil, ou au moins d´essayer...
Allez calme-toi c´est fini, sèche tes larmes, j´veux t´voir sourire C´est pas grave ça passera, promis, viens dans mes bras, chérie
Non j´me marre pas mais ça me fait rire, t´es bien la fille de ta mère Caractère héréditaire, j´ai l´impression d´voir ton père qui s´obstine Faut dire que c´est quand même étonnant D´avoir autant d´tempérament... à même pas trois ans...