pour plus jamais ĂȘtre seule mĂȘme si je me fourvoie / car en rentrant ce soir aprĂšs ce cirque yâaura que moi.
Je parle des soirs oĂč tu te couches et tu voudrais que ce soit le dernier / Je parle des matins oĂč tu te lĂšves tu voudrais que ça sâarrĂȘte jamais / Je parle du mur qui se rapproche de celui que lâon construit / Je parle du rapport Ă lâespoir Ă nos doutes nos envies.