J´ai si peur de continuer le chemin seul Le bonheur s´agrippe trop mal aux gens seuls Et j´implore, oui, j´implore de voir surgir enfin l´amour Ces lèvres rougies qui viendront bouffer mes lèvres
Je suis affamé, assoiffé, de l´amour le plus parfait Ne pas partir, non, ne pas partir, sans avoir connu l´amour parfait Et j´attend, oui, j´attend que prenne le feu qui dévore le ventre Il paraît que l´on ri, que l´on danse, que l´on pleure pour rien d´autre que le pur bonheur
Il paraît...
Est-ce toi ? Est-ce bien toi ? Tes pieds n´ont pas eu peur de fouler les braises Jusqu´à moi, cette fois Alors l´état de grâce ressemble donc à ça Si le prix à payer est de mourir étouffé de chagrin, on s´en fout Ca vaut le coup d´oser s´aimer maintenant, peut-être trop fort