Comme d´hab´, c´est les mêmes problèmes dans mes histoires Comme d´hab´, c´est les mêmes dilemmes quand le vice parle Dans l´fond, j´me dis : "putain canalise-toi"
Car si jamais tout va bien, c´est mes démons qui lassent
Comme d´habitude, un peu trop khabat, j´repense à la mort et ça m´fait bader J´aurais jamais les codes du paradise à moins que j´arrive à les pirater Comme d´habitude, hier j´ai merdé, j´ai claqué ma monnaie si facilеment J´voulais mettre à l´abri la madrе mais bon, là j´ai régalé le casino Et c´est fascinant, comment sont visés dans ma tê-te tous ces vices qui m´entravent et m´empêchent D´avancer tranquillement sans faire de la de-mer, sur ma route déjà semée d´embûches Quand j´vois l´humain courir à sa perte, quand il commence à m´casser la tête
Souvent seul dans ma bulle, j´ai pas l´temps de répondre, poto quand j´suis au stud´, j´regarde plus l´heure
Comme d´habitude, le bruit du silence me met la pression Comme d´habitude, le karma te fait payer l´addition Quand ça va pas, j´en vois beaucoup retourner leur veste Mais comme d´habitude, on s´y habitue (ouais ouais ouais)
Comme d´hab´, c´est les mêmes problèmes dans mes histoires Comme d´hab´, c´est les mêmes dilemmes quand le vice parle Dans l´fond, j´me dis : "putain canalise-toi"
Car, si jamais tout va bien c´est mes démons qui lassent Comme d´hab´, c´est les mêmes problèmes dans mes histoires Comme d´hab´, c´est les mêmes dilemmes quand le vice parle Dans l´fond, j´me dis : "putain canalise-toi" Car si jamais tout va bien c´est mes démons qui lassent
Comme d´habitude, j´éteins mon réveil, je me rendors et j´pars dans un rêve, j´ai un lourd salaire Mais quand j´ouvre les yeux, j´me retrouve à la bourre, j´ai rendez-vous à dix il est douze sa mère J´les vois s´engraisser dans les Émirats, pendant que le monde crie "Ayudame"
J´me demande c´qu´on va laisser comme héritage, j´repense à la Terre, j´ai un goût amer Et vu que j´me dis qu´on va tous tailler, j´veux profiter à fond de ma vida Alors j´fais péter l´son dans l´habitacle mais comme d´habitude, j´entends le voisin qui râle Encore une fois poto, c´est sous alcool que j´repense à Madara, ses paroles Et j´me dis qu´ici ça tourne pas rond, ça fait un bail que j´ai pas vu mon daron, merde
Comme d´habitude, le bruit du silence me met la pression Comme d´habitude, le karma te fait payer l´addition Quand ça va pas, j´en vois beaucoup retourner leur veste Mais comme d´habitude, on s´y habitue (ouais ouais ouais)
Comme d´hab´, c´est les mêmes problèmes dans mes histoires Comme d´hab´, c´est les mêmes dilemmes quand le vice parle Dans l´fond, j´me dis : "putain canalise-toi" Car, si jamais tout va bien c´est mes démons qui lassent Comme d´hab´, c´est les mêmes problèmes dans mes histoires Comme d´hab´, c´est les mêmes dilemmes quand le vice parle Dans l´fond, j´me dis : "putain canalise-toi" Car si jamais tout va bien c´est mes démons qui lassent