Ils étaient amoureux, Ils s´aimaient tous les deux, Ils étaient heureux. Chaque soir, chaque matin, Ils allaient au turbin,
Le cœur plein d´entrain. A l´atelier, ses copines lui disaient : "Pourquoi tu l´aimes tant ton Dudule ? Il n´est pas beau, Il est mal fait ! "Mais elle gentiment répondait : "Z´en faites pas, les amies, ce que j´aime en lui..."
"C´est la grosse bite a Dudule, J´la prends, j´la suce, elle m´encule, Ah les amies, ah c´que c´est bon, Quand il m´la carre dans l´oignon ! C´est pas une bite ordinaire, Quand il m´la fout dans l´derriere, J´me sens soudain toute remplie, Du cul jusqu´au nombril, Ah Dudu-u-le."
Ca devait arriver, Ils se sont mariés, Ils ont convolé. D´abord ca tourna rond, Lui caressa l´menton, Lui flanqua des gnons. A l´atelier, ses copines lui disaient : "Pourquoi tu l´tues pas ton Dudule ? Il t´a battue, Il t´a cirée ! "Mais elle gentiment répondait :" Z´en faites pas, les amies, ce que j´aime en lui..."
"C´est la grosse bite a Dudule, J´la prends, j´la suce, elle m´encule, Ah les amies, ah c´que c´est bon,
Quand il m´la carre dans l´oignon ! C´est pas une bite ordinaire, Quand il m´la fout dans l´derriere, J´me sens soudain toute remplie, Du cul jusqu´au nombril, Ah Dudu-u-le Ah Dudu-u-le."