Et puisqu’il faut que rien n’se perde, Dans la nature où tout est bon, Amis poussons, poussons la pompe à merde, Le jour se lève à l’horizon.
Pompons la merde
Et pompons-la gaiement Et envoyons se faire foutre Ceux qui ne sont pas nos frères Pompons la merde Et pompons-la gaiement Et envoyons se faire foutre Ceux qui ne sont pas contents
Humble ouvrier, ta modeste cuisine, Te fait du riche envier les festins, Console-toi, les produits qu’il rumine Ne sentiront pas meilleur que les tiens.
Puissants du jour, qui bouchez vos narines, Quand nous pompons le fruit de vos excès, Si nous cessions de vider vos latrines, Que sentiraient vos splendides palais ?