Un jeune homme de Besançon (bis) Avait les poils du cul trop longs (bis) Il se retira pour les ton -on -on -on-dre Dans un endroit obscur et som -om -om -om -bre Comme il n´y voyait qu´à demi (bis)
Il se coupa, un, deux trois Le bout du vit ! (ter)
Mécontent de c´qu´il avait fait Il prit les ciseaux qu´il tenait Et les jeta sur un´vieill´femme Qui tout aussitôt rendit l´âme La justic´qui passait par là A êtr´pendu, Le condamna !
Comme au supplice on le menait Et que le bourreau le tenait Il prit son vit à la poignée Et le montra à l´assemblée Le bourreau que cela fâcha Prit son couteau, Le lui coupa !
Toutes les dames de la cour, De la ville puis des faubourgs, Prirent des pierr´s en abondance Et les jetèr´nt avec violence A celui qui du jouvenceau, Avait réduit Le long boyau !
Mais le plus beau d´cett´affair´-là, C´est que le bougre en réchappa Il n´en perdit pas plus d´un´palme Et s´envoya plus d´une dame A la barbe du capucin Qui l´appelait, Fils de putain !.