Il était un petit homme, Qui s’appelait le père Simon. Il alla sur la montagne, Ton-ton tai-ai-ne, Pour entendre tirer l’canon,
Ton-ton taine et ton ton ton.
Il alla sur la montagne, Pour entendre tirer l’canon. Il serra si fort les fesses, Ton-ton tai-ai-ne, Qu’il chia dans son pantalon, Ton-ton taine et ton ton ton.
Il serra si fort les fesses, Qu’il chia dans son pantalon. Toutes les dames de la ville, Ton-ton tai-ai-ne, Lui apportèrent des torchons, Ton-ton taine et ton ton ton.
Toutes les dames de la ville, Lui apportèrent des torchons.
Elles lui essuyèrent les fesses, Ton-ton tai-ai-ne, La raie du cul tout au long, Ton-ton taine et ton ton ton.
Elles lui essuyèrent les fesses, La raie du cul tout au long. "Je vous remercie Mesdames Ton-ton tai-ai-ne, De votre bonne attention, Ton-ton taine et ton ton ton.
"Je vous remercie Mesdames De votre bonne attention. Quand vous irez par la ville, Ton-ton tai-ai-ne, N’oubliez pas ma maison, Ton-ton taine et ton ton ton.
Quand vous irez par la ville, N’oubliez pas ma maison. Nous y tromperons la soupe, Ton-ton tai-ai-ne, A la merde et à l’oignon, Ton-ton taine et ton ton ton.
Nous y tromperons la soupe, A la merde et à l’oignon. Celles que cela dégoûte, Ton-ton tai-ai-ne, Auront la merde sans l’oignon", Ton-ton taine et ton ton ton.