Depuis quelques mois Babar était fragile Oui mais quelle joie dans tout Célesteville Quand une grande nouvelle nationale et officielle Annonça la venue d’Isabelle Flore, Pomme et Arthur la prenaient dans leurs bras
La maison tremblait car elle marchait déjà En jouant de la trompette devant sa maman Céleste Et Babar qui riait aux éclats
Isabelle, belle, belle, c’est la fille de Babar Qui court après les sauterelles et rentre tard Isabelle belle, belle, fait du patin à roulettes Et met son baladeur à tue-tête
Quelle enfant terrible elle joue de la batterie Un après-midi chez de nouveaux amis Fait du yoga des claquettes Oui mais Babar qui s’inquiète Se met à pleurer seul en cachette Le voyant parler à la télévision Elle comprend qu’il il faut rentrer à la maison
Et comme un oiseau qui plane, elle revient en deltaplane Sans se faire gronder quelle émotion
Isabelle, belle, belle, c’est la fille de Babar Qui court après les sauterelles et rentre tard Isabelle belle, belle, fait du patin à roulettes Et met son baladeur à tue-tête
Isabelle, belle, belle, c’est la fille de Babar Qui court après les sauterelles et rentre tard Isabelle belle, belle, fait du patin à roulettes Et met son baladeur à tue-tête
Isabelle, belle, belle, c’est la fille de Babar Qui court après les sauterelles et rentre tard Isabelle belle, belle, fait du patin à roulettes Et met son baladeur à tue-tête