Johnny, Johnny tu me manques Alors je me planque Pour penser à toi... Tout seul, au fond de ma chambre, En fin de septembre,
Soudain je revois Les jours de notre jeunesse Les filles en liesse Les filles en joie, Debout dansant des quadrilles Et leurs yeux qui brillent Je revois tout ça...
Et puis ce fut ton mariage Etait-il bien sage Quand un amour ment ? Et moi, pourquoi donc le taire : Service militaire, Caserne, régiment... Et puis et puis tant de choses Et puis tant de roses Se fanèrent un peu... J´étais sur une grand route,
Ebahi sans doute Sur fond de ciel bleu.
Johnny, j´ai de la tristesse Faite de tendresse Pour ces premiers jours Ce temps, proche de l´enfance, D´une adolescence Partie sans retour. La vie, nous l´avionssuivie En ce temps joli, Heureux, pas à pas. Ce soir, j´ai la nostalgie De cette magie Qui ne revient pas.
La vie, nous l´avions suivie En ce temps joli,
Heureux, pas à pas. Ce soir, j´ai la nostalgie De cette magie Qui ne revient pas... Johnny, Johnny tu me manques Alors je me planque Pour penser à toi. Ce soir, j´ai la nostalgie De cette magie Qui ne revient pas.