Toi qui reviens d´une course lointaine Le cœur léger Regarde bien ici l´eau des fontaines N´a pas changé Repose-toi de poursuivre ta gloire
Quelques instants Penche ton front et là tu pourras boire Tout comme avant.
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Nous monterons tous deux sur la terrasse Au mur de lierre Si près du ciel qu´un seul regard embrasse La ville entière Et tu verras que rien ne nous échappe De ces palais De ces jardins, de ce dôme où le pape Prie pour la paix.
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Dans les sentiers où l´ombre s´évertue
À ne salir Aucun détail délicat des statues Qu´on voit pâlir Nous parlerons de nos anciens automnes Quel joli temps En souriant au bonheur que nous donne Ce vieux printemps.