Troisième étoile à gauche ! Les forces du destin. Rouge de sang en double croches, je joue les arlequins. Au théâtre du prêt-à-mourir, j’ai tiré le rideau … Aux mannequins et poupées de cire, je crie : « Il va faire beau ! » …
Et sur la scène de l’Opéra, je joue ma symphonie. Celle qui brûle à l’intérieur le cœur des Rois Maudits … Et sur la scène en capitaine … Et cap sur l’amour ! Ô mille caresses jusqu’au petit jour…
On est meilleur à l’intérieur ! On a bien plus chaud. On a moins peur …
Troisième étoile à gauche ! Je vais changer de chaîne ! Cautériser entre dièses et guignols la portée de ma haine … Au théâtre du prêt-à-jouir, je reviendrai bientôt réveiller les fous, les fakirs … Piquer les toréros …
Et sur la scène de l’Opéra, je joue ma symphonie Celle qui brûle à l’intérieur le cœur des Rois Maudits … Et sur la scène en capitaine … Et cap sur l’amour ! Ô mille caresses jusqu’au petit jour…
On est meilleur à l’intérieur ! On a bien plus chaud. On a moins peur … Et Diva la vie qui brûle en moi … Comme un incendie à l’Opéra ! …
Un incendie … à l’Opéra …
Diva la vie qui brûle en moi ! Un incendie à l’Opéra !
Je joue les cordes ! Je sauve les cuivres ! L’oiseau de feu dans une histoire à suivre ! … Diva la vie !