On le reconnait à la façon qu’il a de plaire Toujours le premier à trainer des pieds derrière
C’est une illusion Encore vert il connait sa chance Donne l’impression De laisser une longueur d’avance
Et c’est chacun pour soi C’est jamais à lui Et si toujours ensemble C’est jamais unis L’aimer c’est comme aimer la nuit Le dieu qui s’enfuit
Goya soda Soda l’imprécis J’avais cru avoir appris Goya soda Soda l’indécis Persuadée d’avoir compris
Goya soda Soda l’imprécis Mais depuis ce type-là Qui mange qui
Il rit aux éclats Du tableau du maitre espagnol Dévorer l’enfant Tuer le temps Semer le sol Plus je le regarde se moquer du vieillard en face Plus mon désir se teinte d’une jalousie vorace
Et c’est chacun pour soi C’est jamais à lui Et si toujours ensemble C’est jamais unis L’aimer c’est comme aimer la nuit
Le dieu qui s’enfuit
Goya soda Soda l’imprécis J’avais cru avoir appris Goya soda Soda l’indécis Persuadée d’avoir compris Goya soda Soda l’imprécis Mais depuis ce type-là Qui mange qui
Jamais à moi Jamais à moi Il ne sera jamais à moi Trop jeune trop rapide Trop capricieux pour moi
Coup de pinceaux, les chairs sont dévorées à vif pour toi Il médisait tant, ressemblait à ce tableau de Goya Qu regarde qui A quel prix Et qui mange quoi Qui t’avait dit Et qui te fait penser à d’autres que moi Pourquoi avaler, recracher, pourquoi grader tout contre soi Comme j’avais envie je lui ai payé cash le soda
Goya soda Soda l’imprécis J’avais cru avoir appris
Goya soda Soda l’indécis Persuadée d’avoir compris Goya soda Soda l’imprécis Le nez dans son corps Gamin du chaos