Le soir pisse sur les trottoirs Temps de s’asseoir au bar et de s’abreuver du houblon des étoiles Qui viennent s’écraser, errantes, A l’orée de la forêt
Là où des chevaliers cavalent pieds et poings liés …Dans la soie de la loi Qui voile la conscience disséminée La sonnerie du portable retentis Tout cela n’est qu’un flash Haché par la frénésie de la vie parisienne…