J´ouvre la porte sur ce monde que je ne connais plus...
Mes pas me portent, plus loin que je ne l´aurais cru. Dans les artères grises, je glisse et je me sens perdu, Tant de néons brillent, les ombres m´encombrent la vue.
Je marche, passe, me déplace parmi les pantins, (est-ce une) comédie concrète ou(/une) farce de plaisantins? Dans la clameur sourde, je cours, et cherche le chemin, Et je m´évade, m´évanouis quand tu me tends la main...
Je rêve, d´une trêve, de ne plus m´étouffer! J´en crève, en bref, je veux juste m´envoler, Déployer mes ailes et qu´elle vienne me retrouver.
Je rêve, d´une trêve, de ne plus m´écrouler! J´en crève, en bref, je veux juste décoller, Déployer mes ailes et qu´elle m´aime d´emblée.
Je foule cette asphalte, aspiré de toutes parts, Je frôle les fantômes, peu ‡ peu, le doute m´égare, Les visages s´effacent, (ils) ne laissent aucune trace, La mémoire en vrac, les souvenirs ne sont pas ‡ leur place,
Dans le tumulte fou, je (re)cherche ta main, Et je m´enfouis, sans me soucier des lendemains. Est-ce une quête vaine, ou bien une route sans fin? Finirais-je un jour par te revoir enfin?
Je rêve, d´une trêve, de ne plus m´étouffer! J´en crève, en bref, je veux juste m´envoler, Déployer mes ailes et qu´elle vienne me retrouver.
Je rêve, d´une trêve, de ne plus m´écrouler! J´en crève, en bref, je veux juste décoller, Déployer mes ailes et qu´elle m´aime d´emblée