J´ai les bleus, les bleus de Montréal, d´une balade, le long du grand Canal. J´ai les bleus, d´un grand étang gelé, où l´hiver, les enfants patinaient. J´ai les bleus, d´un accent, d´un humour, d´une fille que j´avais rencontrée.
Un soir, je suis tombé en amour, au milieu de la place Jacques Cartier. J´ai les bleus, de mon chum Jean Cayé, de l´étang, des moulins à Terrebonne. J´ai les bleus, d´une fille qui disait qu´elle n´aimait que Larry Robinson
J´ai les bleus du bout du monde, du sourire d´une blonde, J´ai le coeur comme Ginette quand elle chante Paris-Québec. J´ai les bleus d´un pays loin, où frissonne l´Italien. J´ai les bleus d´un pays froid, j´ai les bleus du Canada.
J´ai les bleus, d´une nuit à Montréal, des chansons de Leclerc, de Vigneault,
Un concert au flanc du Mont-Royal, Ils avaient rêvé d´un nom plus beau. Quand les hommes vivront vraiment d´amour, au Québec, je reviendrais faire un tour, Je viendrais soigner mon Vagala, et chanter pour vous à Montréal.
J´ai les bleus du bout du monde, du sourire d´une blonde, J´ai le coeur comme Ginette quand elle chante Paris-Québec. J´ai les bleus d´un pays loin, où frissonne l´Italien. J´ai les bleus d´un pays froid, j´ai les bleus du Canada.
J´ai les bleus du bout du monde, du sourire d´une blonde,
J´ai le coeur comme Ginette quand elle chante Paris-Québec. J´ai les bleus d´un pays loin, où frissonne l´Italien. J´ai les bleus d´un pays froid, j´ai les bleus du Canada.