Salut! Salut Maria, si je reviens ce soir, ce n´est pas un hasard Dis, asâtu un moment je te jure que c´est important Disâmoi, disâmoi Maria, te souviensâtu d´avant quand je venais te voir
Quand mes larmes d´enfant, te faisaient un miroir.
Ave, ave Maria j´ai usÊ mes genoux devant des cathÊdrales Et abÎmÊes mes joues à essuyer leurs larmes Ave, ave Maria, je suis un enfant perdu, Marie je ne t´aime plus.
Pourtant, pourtant Maria, j´ai criĂŠ dans le noir, me suis cassĂŠ la voix Quand, loin dans mon dĂŠsespoir, tout seul je me tournais vers toi Tu sais, tu sais Maria , tu sais les sauts de larmes, la peur et les mouchoirs Qu´asâtu fait de tes armes et oĂš est ton pouvoir.
Ave, ave Maria, je suis un enfant perdu, Marie je ne t´aime plus.
Ăcoute, ĂŠcoute Maria, j´ai aimĂŠ d´autres dieux, j´en ai pris plein les yeux Mais, moi je me suis perdu dans les fruits des fondus. Et toi, et toi Maria, dans les petit matin, tu n´as pas pris ma main Quand j´avais peur et froid, tu n´as rien fait pour moi.
Ave, ave Maria, je suis un enfant perdu, Marie je ne t´aime plus.
Ăcoute ma prière et conduisâmoi vers Dieu Disâmoi ce qu´il faut faire, disâmoi ce que tu veux
Maria, tu es sourde, Marie, ĂŠcouteâmoi Ma foie est un peu lourde et tu ne m´entends pas.
Alors, alors Maria, j´ai jouÊ à l´amour, en y trichant toujours Mais, qu´on ne s´y trompe pas, y´a plus rien quand l´amour s´en va. Tu vois, tu vois Maria, je ne crois plus en l´homme, je ne crois plus en dieu Il n´y a plus personne pour me sÊcher les yeux.