Voilà que tu débarques, voilà que tu reviens, Comme si c´était hier, comme si ce n´était rien, Et tu parles de nous, comme d´une évidence, Tu viens je ne sais d´où, tu veux qu´on recommence.
Mais Marie est venue, sans rien me demander, Et elle seule a su, m´apprendre à t´oublier.
Voilà que je comprends, que je ne t´aime plus. Que t´étais assemblant, rien qu´un mal entendu. Toi tu dis que tu m´aimes et que tout va changé, Qu´on ne fait plus de scène quand on a trop pleuré.
Mais marie est venue, et elle m´a guéri, M´a soigné et m´a plu, m´a redonné la vie.
Voilà que tu arrives, comment t´es reconquises, Que tu dis à Marie, que la place était prise, Et puis moi je comprends combien j´aime Marie, Combien je veux d´enfants que va faire Marie.
Car Marie est venue, elle m´a consolée, Je n´aurais jamais cru, que j´allais tant l´aimer
Car Marie est venue, elle m´a consolée, Je n´aurais jamais cru, que j´allais tant l´aimer