J´ai suivi le chant des sirènes Jusqu´au bout de mes sentiments, J´ai fait le tour des joies des peines Mais sans mentir sans faire semblant,
Malgré ce que j´ai pu écrire Pour vous parler de temps en temps, Ce que je n´ose pas vous dire Je l´ai couché sur papier blanc.
Même si parfois j´ai pris les mots Comme des otages en bouclier,
J´ai dit je t´aime cent fois de trop En croyant dire la vérité, Et si tous mes châteaux de sable Se sont écroulés tour à tour, I l reste en moi ce pauvre diable Qui rêve encore et pour toujours: Un homme, pas un guerrier un gentilhomme, Avec le sourire qui vous donne L´envie de partager sa vie,
Un homme, qui dit je t´aime au bord des larmes, Qui sait encore parler aux femmes, Sans jamais trop parler de lui,
Un homme.
Même si j´ai souvent bafoué Tous les principes à l´eau de rose, Face à ces gens si bien rangés Qui donnent un prix à chaque chose,
Si je n´ai pas su retenir Tous mes élans et mes sanglots, Je suis encore venu vous dire Que ce n´est pas mon dernier mot,
Tant que le vent me guidera,
J´mettrai des ailes à mes chansons, Je sais qu´il existe un endroit Le pays de mes illusions,
Je n´ai aucune prétention, Je ne changerai pas le monde, Mais la réponse à mes questions C´est de rêver chaque seconde:
Un homme, Pas un guerrier un gentilhomme, Avec le sourire qui vous donne L´envie de partager sa vie,
Un homme, Qui dit je t´aime au bord des larmes, Qui sait encore parler aux femmes, Sans jamais trop parler de lui,
Un homme, un homme, un homme Pas un amant de quelques nuits, UN HOMME