Chaque nuit je suis là, elle sait que je suis là, Je suis d´ailleurs toujours là à l´attendre Est-il possible de tant souffrir sans pouvoir en mourir, ni même en rire
Ni même se défendre ? Et chaque nuit j´attends misérablement Eloïse, Eloïse
Tu sais que je suis fou, oui Je sais je fais pitié Oh ça m´est égal, mais réponds moi, réponds moi !
Et je regarde le ciel mes yeux mouillés se voilent, Je plonge dans les nuages, je m´accroche aux étoiles Et je me perds je tournoie dans les airs, et je contourne la lune Soudain je tombe sur terre Je suis tout seul j´ai mal, je supplie et je crie Eloïse, Eloïse
Tu es à moi je sais que tu viendra, tu viendra...
Si Eloïse pouvait comprendre tout ce que j´ai à lui donner Mon Eloïse tu vas m´entendre, tu vas venir, tu vas rester
Et pourtant le temps passe les nuits deviennent plus froides L´été devient l´hiver, ma vie devient l´enfer Mon coeur devient tout noir et je m´habille de désespoir Ma tête explose, ma vie se décompose M´entendra-tu avant que je ne disparaisse vraiment ? Eloïse, Eloïse
Personne n´a souffert autant que moi Tu es à moi tu me reviendra Personne n´a le droit de te garder, te garder ! Je suis le seul qui peut t´aimer, qui peut t´aimer, le seul Moi, toi, toi, toi, toi, mon Eloïse Oh je t´appelle, puisque je t´aime Non, non, non, non, non, mon Eloïse Reviens moi vite, il faut que tu revienne Non, non, non, non, non...